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Les États-Unis ont cette qualité indéfinissable qui fait de ce pays la destination idéale pour un road trip. Rouler cheveux au vent sur les routes sans fin, votre musique favorite en fond sonore sur des milliers de kilomètres ne peut qu’être le début d’une grande aventure. La grande diversité de paysages et de cultures qui émaillent le territoire des États-Unis est gage d’une multitude d’itinéraires, quel que soit le ton de votre voyage.
Une voiture de location depuis un aéroport des États-Unis vous permet d’explorer en toute liberté ce pays bigarré à votre convenance. Une fois au volant, les États-Unis s’offrent à vous. Peu importe que vous prévoyiez un road trip le long de la côte et des villes balnéaires de Nouvelle-Angleterre, une traversée des vastes plaines du Midwest ou une escapade à Big Sur en Californie. En louant une voiture aux États-Unis, vous partez pour une aventure inoubliable.
Une voiture de location aux États-Unis est le moyen le plus facile de débuter son voyage nord-américain, mais éplucher des dizaines de sites à la recherche de la meilleure offre de location et effectuer la réservation n’est pas toujours évident. AirportRentals.com vous mâche le travail et vous propose les meilleures offres parmi un large éventail de fournisseurs étatsuniens sur le même site.
Pour louer aux États-Unis la voiture qui correspond à votre voyage et votre budget, vous n’aurez besoin que d’entrer quelques détails : le lieu où récupérer votre véhicule, votre destination et les dates de votre séjour. Vous pourrez alors parcourir les fiches des véhicules parmi plusieurs agences de location et choisir celui qui vous plaît. C’est aussi simple.
Quel que soit votre point de départ, il ne sera pas difficile de trouver la voiture de location aux États-Unis qu’il vous faut sur AirportRentals.com. Ci-dessus vous trouverez une petite sélection des destinations étatsuniennes les plus populaires pour louer une voiture.
● Location de voiture depuis l’aéroport de Los Angeles : atterrir à Los Angeles vous ouvre les portes du sud-ouest des États-Unis, sans parler de la légendaire ville que vous explorerez avant de prendre la route.
● Location de voiture depuis l’aéroport de Tampa : les amateurs de soleil qui arrivent à Tampa se verront comblés par un paradis de divertissement, et par un grand nombre de destinations accessibles par la route : les parcs à thème d’Orlando, les plages de Miami Beach, les bars et bayous des Keys sont à portée de main.
● Location de voiture depuis l’aéroport de Denver : surnommée « Mile High City » (« la ville à un mile de haut ») à cause de son altitude, Denver est une jolie ville où les voyageurs s’arrêtent pour skier, faire de la randonnée dans les forêts avoisinantes et autres aventures.
● Location de voiture depuis l’aéroport de Las Vegas : la capitale mondiale du divertissement ne déroge pas à sa réputation. Grâce à une voiture de location à Las Vegas, il est possible de sortir de la ville une fois tous ses désirs comblés, et de partir découvrir les impressionnants panoramas qu’offrent le Hoover Dam, le parc national de Zion et le Grand Canyon.
● Location de voiture depuis l’aéroport de Phoenix : les basses températures vous rebutent ? Phoenix est l’endroit parfait pour échapper à la déprime hivernale grâce à son climat chaud permanent. C’est aussi une destination pour les amateurs de golf, avec ses nombreux terrains conçus par Jack Nicklaus.
● Location de voiture depuis l’aéroport de Seattle : capitale du nord-ouest, Seattle est un bouillon de culture et de technologie dernier cri. C’est également une ville écologique, entourée de kilomètres de forêts sempervirentes et de montagnes majestueuses. Un road trip à travers la nature sauvage de l'État de Washington est chaudement recommandé.
● Location de voiture depuis l’aéroport de San Francisco : quoi de mieux que de démarrer son voyage dans la ville cool par excellence, d’explorer les beaux vignobles et la nature sauvage du nord de la Californie, et de longer la côte en vous émerveillant de la splendeur de Big Sur dans votre voiture de location ?
Conduire aux États-Unis n’est pas bien difficile, bien qu’il soit recommandé de se familiariser avec les règles locales des États que vous comptez traverser à bord de votre voiture de location. Chaque État possède ses propres lois, règles et règlementations, mais un certain nombre de principes sont valables dans le monde entier. Vous aurez besoin d’un permis de conduire valide. Si les permis étrangers sont généralement acceptés, certains États demandent un permis international. Conduire en état d’ébriété est illégal, et bien que le pourcentage varie légèrement d’une région à l’autre, la limite légale est de 0,08 %. On conduit du côté droit de la route. La plupart des autres pays du monde font de même, mais les visiteurs venant de pays où l’on conduit à gauche devront être vigilants, en particulier aux intersections. Si vous désirez connaître plus précisément les règles de la route aux États-Unis, consultez notre guide de conduite aux États-Unis qui contient toutes les informations utiles pour conduire en toute confiance aux États-Unis à bord de votre voiture de location.
Voici quelques conseils pour rouler aux États-Unis :
● Surveillez votre vitesse sur les autoroutes. Les distances sont immenses et il est facile de se laisser aller à une vitesse excessive.
● Les conditions d’entretien des routes varient beaucoup d’un coin à l’autre des États-Unis. Ajustez votre conduite à ces conditions, qui peuvent parfois être extrêmes.
● Prêtez attention aux limitations de vitesse : celles-ci varient d’un État à l’autre, et que l’on se trouve sur une autoroute ou dans une zone urbaine.
● Les limitations de vitesse sont mesurées et écrites en miles par heure.
● Les péages sont appelés turnpikes, et proposent différentes méthodes de paiement pour l’usage de la route, selon l’État dans lequel vous vous trouvez. Vérifiez avant votre trajet si celui-ci contient des péages.
Avec leurs autoroutes sans fin, leurs grands espaces, la myriade de panoramas et de choses à voir, les États-Unis d’Amérique sont la destination idéale pour un road trip. Les grandes distances ne sont pas un problème pour les étasuniens qui passent leur permis dès 16 ans. Rien de plus facile que de se mettre dans la peau d’un local en louant une voiture pour se lancer dans un voyage épique à travers ce grand pays.
Cependant, il est important de prendre connaissance de quelques informations de sécurité et de se préparer un minimum. Nous avons donc compilé dans ce guide tout ce que vous devez savoir pour réaliser un voyage inoubliable sur les routes des États-Unis, que ce soit pour une traversée d’une côte à l’autre, ou pour un week-end d’exploration d’une région en particulier.
Bien sûr, chaque État des États-Unis suit ses propres lois en ce qui concerne la route, et en lire l’intégralité vous enverrait directement dans les bras de Morphée. Heureusement, on retrouve plusieurs règles communes à tous les États. Lire 50 guides différents vous rendrait la tâche difficile. Voici quelques règles à suivre quel que soit l’endroit où vous vous trouviez.
Vous pouvez consulter les règles détaillées État par État sur le site Advanced Drivers America. Nous recommandons de lire les lois des États que vous comptez traverser.
Toute personne conduisant aux États-Unis doit avoir un permis de conduire valide. Les permis étrangers peuvent être utilisés, mais certains États demandent un permis international en plus, en particulier lorsque le permis n’est pas en anglais. Il est conseillé de vérifier les conditions nécessaires propres à chaque État que vous visitez, et dans le doute, demander un permis de conduire international avant votre voyage.
Les limitations de vitesse varient d’un État (ou territoire) à l’autre et finissent généralement par un 5 ou un 0. 80 miles par heure (soit 128 km/h) est la vitesse maximale autorisée, le plus souvent sur les autoroutes de l’ouest, tandis qu’à l’est, la vitesse maximale tend à être de 70 miles par heure (soit 112 km/h). Certaines zones du Texas autorisent jusqu’à 85 miles par heure (soit 136 km/h), tandis qu’à Hawaii, le maximum est de 60 miles par heure (soit 96 km/h).
Il est illégal de dépasser les limites autorisées, alors gardez un œil sur les panneaux et adaptez votre vitesse.
Il est interdit de rouler aux États-Unis sous l’empire d’un état alcoolique, et la limite est généralement de 0,8 % avant de se trouver dans l’illégalité. Cette règle est généralement connue sous les acronymes DUI (« driving under the influence » soit « conduite sous l’empire d’un état alcoolique ») ou DWI (« driving while intoxicated » soit « conduite en état d’ivresse »). Cependant, certains États punissent moins sévèrement les conducteurs dont le pourcentage d’alcool dans le sang est moindre. Le plus sûr étant évidemment d’éviter la consommation d’alcool avant la prise du volant.
Selon la loi fédérale, la ceinture de sécurité est obligatoire dans tous les véhicules. Son port est réglementé par les lois étatiques. Certains États considèrent le non-port de la ceinture comme un délit secondaire tandis que d’autres le punissent plus sévèrement. L’âge pour le port obligatoire de la ceinture varie. Dans certaines régions, la ceinture est obligatoire pour tous les passagers, tandis que dans d’autres, elle ne l’est que pour les passagers assis à l’avant. Le New Hampshire est le seul État qui n’oblige pas les adultes ou les passagers à l’avant à boucler leur ceinture de sécurité. Les lois concernant les enfants varient énormément, mais globalement incitent à appliquer des mesures de sécurité. Les agences de location de voiture vous informeront sur les lois et vous conseilleront en matière d’équipement pour les plus jeunes.
L’utilisation du téléphone (et autres appareils) au volant est très restreinte à travers le pays. Chaque État possède ses propres restrictions. Là encore, cela peut être considéré soit comme un délit mineur, soit comme un délit majeur. Aucun État n’interdit complètement l’utilisation du téléphone, mais beaucoup interdisent aux conducteurs de s’en servir au volant.
Aux États-Unis, on roule à droite. C’est évidemment la chose la plus importante à savoir ! Si vous venez d’un pays où l’on roule à gauche, prenez soin aux intersections de vous trouver du bon côté.
Les lignes jaunes centrales marquent la séparation avec les véhicules roulant dans le sens opposé. Les lignes blanches en pointillé séparent une route en voies suivant la même direction. Si les lignes blanches sont continues, changer de voie est déconseillé bien qu’autorisé, et si elles sont doubles et continues, changer de voie est interdit. Les lignes jaunes centrales fonctionnent de la même manière. Si elles sont en pointillé, doubler est permis, si elles combinent ligne en pointillé et ligne continue, doubler est permis du côté en pointillé. Si elles sont doubles et continues, doubler est interdit des deux côtés.
Les priorités de passage peuvent être compliquées où que vous alliez, et les États-Unis ne font pas exception. La plupart des États usent d’un système où la priorité est à droite aux intersections sans indications, selon lequel les conducteurs cèdent le passage aux véhicules venant de leur droite. Cependant, ceci s’applique uniquement là où n’apparaît aucune indication. Aux intersections à 3 voies (en forme de « T »), les véhicules circulant sur la route terminant le tracé cèdent le passage aux véhicules qui s’y engagent à l’intersection.
Les intersections et carrefours où le panneau « STOP » est présent sont typiques des routes aux États-Unis, et sont également utilisés au Canada et en Afrique du Sud. Le « STOP » s’applique aux intersections aux approches multiples, et la première règle en est que tous les véhicules doivent s’arrêter au panneau avant de s’engager. Une fois à l’arrêt, les conducteurs peuvent s’engager dans l’ordre selon lequel ils sont arrivés, et s’ils sont arrivés plus ou moins en même temps, ils devront céder le passage à droite. Les panneaux sont généralement les « STOP » de forme hexagonale, les plaques « ALL WAY » et parfois d’autres plaques indiquant le nombre de voies présentes à l’intersection.
Les feux de signalisation fonctionnent selon les mêmes codes couleur que partout ailleurs dans le monde, donc aucune surprise de ce côté-là. Les feux jaunes indiquent que vous devez vous arrêter si vous pouvez le faire de manière sécurisée, et les flèches indiquent quand vous pouvez ou ne pouvez pas tourner. Tourner à droite est généralement autorisé au feu rouge si vous êtes arrêté et que vous donnez la priorité aux autres véhicules et aux piétons, sauf dans le cas d’un panneau interdisant explicitement de tourner à droite au feu rouge (« no right turn on red »).
Les ronds-points ne sont pas monnaie courante, mais ils fonctionnent de la même manière que dans le reste du monde, où les véhicules circulant ont priorité sur ceux qui arrivent.
Les signaux/indicateurs autorisant à tourner peuvent être rouges ou orange.
Le NHS étasunien (qui concerne les autoroutes) ne doit pas être confondu avec le NHS britannique (qui est un système de santé). Aux États-Unis, l’acronyme NHS signifie « National Highway System », autrement dit « système autoroutier national », un réseau de routes qui parcourent le pays, incluant les puissantes autoroutes inter-États et autres routes importantes pour l’économie, la défense et la mobilité dans le pays.
Officiellement appelé « Dwight D. Eisenhower National System of Interstate and Defense Highways » (« Système national des autoroutes inter-États et autoroutes de défense Dwight D. Eisenhower »), ce réseau est un ensemble d’autoroutes à l’accès contrôlé qui permet des trajets rapides à travers les États-Unis. Sa longueur totale est de plus de 77 000 kilomètres (environ 50 000 miles). Ces axes sont marqués d’un panneau rouge et bleu en forme de bouclier.
Les autoroutes qui traversent les États bénéficient généralement des plus hautes limitations de vitesse, mais celles-ci continuent de varier selon l’État. Les véhicules accèdent aux autoroutes inter-États par des bretelles. Des péages sont présents sur quelques-unes de ces autoroutes.
Pour s’y retrouver dans ce système de routes inter-États, il faut en comprendre la numérotation. Les autoroutes qui suivent l’axe est-ouest portent des nombres pairs après le « I », tandis que celles qui suivent l’axe nord-sud ont des nombres impairs. Les autoroutes paires suivent un ordre croissant du sud au nord, et les autoroutes impaires le suivent d’ouest en est.
Ce système peut devenir déroutant à cause des nombreuses spécificités de chaque autoroute. Par exemple, lorsqu’une route qui suit (globalement) l’axe est-ouest se met à dévier selon l’axe nord-sud dans une région en particulier (et vice-versa). Souvenez-vous que les désignations « E » (est), « W » (ouest), « S » (sud) et « N » (nord) sont des indications globales et vous ne devriez pas trop vous perdre.
Les autoroutes inter-États à trois chiffres sont des autoroutes auxiliaires et peuvent être circonférentielles (qui encercle), radiales ou encore de courtes branches appelées « spurs » (« éperons ») qui desservent les zones urbaines. La route auxiliaire est indiquée par le premier des chiffres correspondant à la route inter-États. Par exemple, I-210 est l’auxiliaire de I-10.
Les bornes indiquant les miles démarrent à l‘extrémité sud ou ouest d’une autoroute, et redémarrent chaque fois qu’une frontière d’État est franchie. Les numéros de sortie sont soit séquentiels, soit relatifs à la distance (auquel cas le numéro de sortie est le même que la borne de mile la plus proche, parfois agrémenté d’une lettre).
Précurseurs des autoroutes inter-États, les US Routes fonctionnent toujours dans certaines régions du pays. Elles sont indiquées par un blason noir et blanc, et suivent le même système de numérotation que les autoroutes inter-États, à l’exception que les routes impaires de l’axe nord-sud voient leur nombre augmenter d’est en ouest, et que les routes paires de l’axe est-ouest augmentent du nord au sud.
Les « éperons » et autres routes auxiliaires sont aussi numérotés avec 3 chiffres. Le second chiffre se réfère à sa route « parente ».
Les US Routes ne sont pas construites selon un modèle particulier. Certaines sont gratuites, d’autres non. Les routes à péage sont des routes spéciales, et à quelques exceptions près, une route gratuite est toujours disponible tout en faisant partie du système.
Chaque État des États-Unis possède son propre système d’autoroute en plus des routes nationales. Ils varient en genres et qualité et servent à connecter les villes d’un point de vue local. Les balises des autoroutes d’État varient en formes et couleurs. Certaines sont conçues pour rappeler la forme de l’État, d’autres utilisent des symboles comme le drapeau local. La forme par défaut est le cercle.
Reconnaître et être capable d’interpréter les panneaux de signalisation est la clé d’une conduite sécurisée n’importe où dans le monde. Voici ce qui vous attend sur les routes des États-Unis, au-delà des panneaux d’autoroute évoqués précédemment.
Ceux-ci sont généralement rouge, blanc et noir, et de formes variées. Bien que les panneaux principaux soient utilisés dans tout le pays, chaque État possède ses propres panneaux de régulation qui correspondent à ses lois locales. On peut citer comme panneaux de régulation principaux le panneau hexagonal « STOP », le triangulaire « YIELD » (« céder le passage ») et les panneaux ronds et rouges représentant diverses actions barrées de rouge, indiquant que ladite action est interdite (par exemple : interdiction de tourner à gauche).
Les panneaux de limitation de vitesse sont des panneaux de régulation, et sont généralement des carrés blancs avec des lettres noires. Il existe quelques variantes d’un État à l’autre. Les panneaux de « régulation de mouvement » suivent ce même schéma, et donnent des indications telles que « DO NOT PASS » (« ne pas dépasser »), « KEEP LEFT » (« serrer à gauche ») et « TRUCKS USE RIGHT LANE » (« les camions circulent sur la voie de droite »).
Les panneaux de passage à niveau sont blancs et marqués d’une croix avec « RAILROAD CROSSING » d’inscrit, ou sont ronds et jaunes avec une croix noire et les lettres « RR » inscrites.
Ces panneaux utilisent surtout le jaune et le noir. La plupart sont en forme de losange, et servent à avertir les conducteurs de dangers potentiels, de changements sur la route ou dans l’environnement. Cela peut être des avertissements concernant des virages ou des tournants, des portions de route sinueuse, des routes attenantes, des intersections, la présence de panneaux de régulation, de feux de signalisation, de chemin de fer, de véhicules d’intérêt général, d’enfants, de piétons, d’animaux, une visibilité limitée, la réduction du nombre de voies ou leur rétrécissement, une autoroute à deux voies, des zones glissantes, et la possible survenue de dangers naturels comme la chute de pierres, le risque de verglas, de vents, de brouillard, etc.
Les panneaux d’avertissement orange servent à signaler les travaux sur la route et les changements qui en découlent.
Les panneaux mentionnés précédemment servent à préserver la sécurité des conducteurs. Les panneaux de direction leur indiquent où aller. En plus des panneaux rouge et bleu inter-États et des panneaux noir et blanc des routes nationales et des balises d’autoroute d’État, vous pourrez rencontrer des panneaux vert et blanc prévenant des prochaines sorties, les directions qu’elles indiquent, les distances jusqu’à certaines destinations, les attractions du coin, les aéroports, les gares de chemin de fer et autres lieux d’intérêt, ainsi que des informations sur les péages.
Les panneaux de rue varient d’un État à l’autre. La plupart sont vert et blanc mais on rencontre aussi des panneaux marron et bleu ainsi que des panneaux blancs.
Bien que les routes à péage ne soient pas monnaie courante aux États-Unis (en 2015, 23 États n’avaient aucune route à péage), elles existent bien et sont parfois appelées turnpikes.
Dans certains États, on utilise des systèmes de péage électroniques, mais ce n’est pas le cas dans tout le pays. Les passes « E-ZPass » sont les plus courants et fonctionnent dans la majeure partie de l’est des États-Unis, mais il est possible de payer en liquide à tous les péages. Demandez à votre agence de location des informations sur les passes électroniques, certains véhicules disposent de cette option qui permet de payer ultérieurement.
Le shunpiking est la pratique d’éviter les routes à péage en prenant des chemins de traverse. C’est l’assurance d’un voyage à moindre frais, bien que l’essence additionnelle peut entraver les économies réalisées sur les péages. Vous pouvez consulter des sites tels que The Toll Roads pour entrer votre itinéraire et calculer le montant du trajet.
Comme dans tous les pays où l’on trouve des zones rurales et des zones urbaines, se garer est plus ou moins facile. En dehors des grandes villes, on trouve facilement des parkings ou des emplacements le long de la route où se garer gratuitement ou contre quelques pièces dans le parcmètre. En hiver, renseignez-vous sur les rues susceptibles d’être enneigées où vous devrez laisser la bordure du trottoir libre pour les déneigeuses, lorsque la neige atteint une certaine quantité.
Dans les grandes villes, trouver un emplacement pour garer sa voiture est un peu plus compliqué et peut revenir cher. Voici quelques informations à retenir :
Dans les zones développées de certains États, vous verrez peut-être des bordures de trottoir colorées. La couleur indique s’il est permis de se garer ou non. Rouge signifie qu’on ne peut ni stationner ni se garer, vert signifie que l’on peut se garer selon les horaires indiqués, bleu signifie que se garer est réservé aux véhicules des passagers à mobilité réduite, le blanc indique une zone d’embarquement ou de débarquement de passagers, et le jaune une zone de chargement ou de déchargement de marchandise.
La plupart des panneaux de stationnement sont également des panneaux de régulation, mais varient grandement. Ils sont différents d’un État à l’autre, comme les panneaux « NO PARKING » : la plupart sont rouge et blanc, mais certains sont un « P » noir barré de rouge. Les panneaux « NO STANDING » signifient qu’il est permis de s’arrêter temporairement mais pas de se garer.
Les panneaux vert et blanc permettant le stationnement informent sur la durée et le moment où il est possible de se garer. Par exemple, vous pouvez vous garer pour une durée allant jusqu‘à 2 heures, et/ou seulement pendant des tranches horaires précises. Ils indiquent aussi où s’effectue le paiement et quels sont les emplacements réservés aux personnes à mobilité réduite.
Il est utile de savoir que lorsqu’on stationne en créneau, le véhicule doit toujours faire face au sens de circulation de ce côté de la route.
Les parcmètres sont courants en ville, et acceptent généralement les petites pièces (nickels, dimes et quarters), alors gardez de la monnaie ! Vous pouvez parfois payer dans les parkings et les garages. Ceux-ci disposent de différentes méthodes et prix. Certains lieux comme les centres commerciaux proposent le parking gratuit pendant une certaine durée contre un ticket de caisse pour valider.
Numéro d‘urgence
Le numéro pour rapporter n’importe quelle urgence aux États-Unis est le 911. Il sert à signaler tout problème nécessitant une aide urgente comme un incendie, un crime, un accident de voiture ou une urgence médicale. Soyez prêt à donner les coordonnées de votre emplacement et la nature de l’urgence. Même si votre téléphone n’est pas configuré pour passer des appels aux États-Unis, il devrait cependant être capable de joindre le 911. Consultez 911.gov pour plus d’informations.
Assurance
Le système juridique des États-Unis étant ce qu’il est, assurer son véhicule est primordial. Il est obligatoire d’avoir souscrit à une assurance automobile, même basique, dans la plupart des États, tandis que dans d’autres s’applique un système de caution selon lequel les conducteurs déposent une somme avec laquelle l’État pourra couvrir les dommages en cas d’accident, s’assurant ainsi eux-mêmes.
Votre voiture de location devrait être assurée par l’agence e location, et le prix de celle-ci inclus dans le tarif ou en supplément. Vous aurez cependant besoin d’une assurance responsabilité civile qui pourra être incluse ou en supplément. Elle peut éventuellement faire partie de votre assurance voyage. Vérifiez auprès de votre assureur ou de l’agence de location que vous disposez de l’assurance nécessaire. Les franchises telles que Drive Easy peuvent vous aider à économiser une belle somme, voire réduire celle-ci à zéro !
Bus scolaires
Les fameux bus scolaires jaunes des États-Unis ont le pouvoir d’arrêter la circulation. Lorsqu’ils allument leurs feux clignotants rouges, la circulation dans les deux directions s’arrête et patiente pendant que les enfants montent ou descendent du bus, jusqu’à l’extinction des feux. Dans la plupart des États, il n’est pas nécessaire de s’arrêter sur les autoroutes à deux voies si l’on roule du côté opposé (en direction inverse), mais dans les autres cas, c’est obligatoire, alors ne vous faites pas prendre !
Récipients ouverts
Il n’est pas permis d‘avoir des récipients d’alcool ouverts dans sa voiture, et ce à tout moment, sauf si les récipients se trouvent dans le coffre et sont hors de portée du conducteur et des passagers. C’est une loi fédérale qui s’applique non seulement aux bouteilles et cannettes non scellées, mais également à celles qui ont été ouvertes et refermées telles que les bouteilles de spiritueux ou de vin.
Dépassement
Sur les routes à plusieurs voies, il est permis de doubler par la droite et par la gauche, ce qui peut être déconcertant pour les conducteurs étrangers. La voie de gauche est par défaut la voie rapide et celle par laquelle doubler.
Les sites officiels de tourisme de chaque région peuvent être utiles pour planifier votre voyage. Vous pouvez trouver une liste des sites officiels sur 50states.com.
Lorsque l’on roule sur les autoroutes, il peut être difficile de savoir où sortir pour trouver de l’essence ou un magasin d’alimentation. La plupart des routes sont jalonnées de panneaux bleus indiquant quels magasins, installations et services sont accessibles depuis une sortie particulière. Les sociétés peuvent payer pour voir leur logo figurer sur ces panneaux.
Les autoroutes à péage sont exemptes de lois interdisant les bretelles commerciales, permettant de créer des zones commerciales qui ne requièrent pas de sortir de l’autoroute. Celles-ci fonctionnent comme des mini-centres commerciaux, où l’on trouve à manger, des magasins et le Wifi gratuit.
Les aires de repos non commerciales sont entretenues dans tout le pays et sont généralement financées par les gouvernements étatiques. Elles fournissent généralement des services comme des toilettes, un parking et occasionnellement des kiosques d’information, des aires de pique-nique et des distributeurs. A proximité des frontières, vous trouverez de plus grandes aires de repos, plus élaborées, où du personnel peut être présent pour renseigner les touristes, et parfois un petit musée.
Les citoyens de nombreux pays peuvent faire une demande d’ESTA (« Electronic System for Travel Authorisation »), une dispense de visa pour les visites allant jusqu’à 90 jours. C’est la manière la plus facile d’entrer dans le pays. Les pays éligibles sont le Royaume-Uni, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la plupart des pays d’Europe de l’ouest, le Chili et quelques autres pays. Les visas « B » sont une solution alternative pour s’y rendre en tant que touriste.
Traverser les frontières des États en voiture ne nécessite pas de passer des contrôles. Sachez cependant que les règles de la route changent de l’autre côté de la frontière ! Il y a deux frontières internationales que vous êtes susceptibles de traverser pendant votre voyage, celle avec le Mexique et celle avec le Canada. Si vous comptez traverser l’une de ces frontières, vous devez vérifier avec votre agence de location s’il est permis d’emmener leur véhicule à l’extérieur du pays. Souvenez-vous que si vous traversez l’une de ces frontières, vous aurez besoin des visas nécessaires, ainsi que l’autorisation de re-rentrer aux États-Unis.
L’hiver aux États-Unis peut être rude. Il faudra vous préparer si vous comptez voyager sur la route en décembre, janvier ou février, en particulier dans les régions septentrionales. Songez à louer un 4x4 et préparez des vêtements chauds, un stock de nourriture et un sac de sable ou de litière pour la traction au cas où votre voiture se retrouverait coincée. Faires attention au moteur qui peut geler, ainsi qu’au niveau de l’essence. Weather Network a de bons conseils à vous donner pour rouler en hiver.
Nous vous souhaitons un merveilleux voyage sur les routes des États-Unis, en toute sécurité !
Avertissement général
Ces informations sont fournies sur une base indicative. Bien que nous fassions de notre mieux pour fournir les informations les plus justes, nous ne garantissons pas leur exactitude ou leur précision absolue.
Un road trip aux États-Unis est un voyage sur bien des listes des choses à faire une fois dans sa vie. Imaginez-vous chasser le coucher de soleil d’est en ouest, vous arrêter dans les petites villes et admirer tous les paysages possibles, des montagnes aux prairies. C’est un voyage qu’on a tous envie de faire. A quel point est-il réalisable ?
Les États-Unis sont un grand pays, et le réseau d’autoroute qui le parcourt est incroyablement vaste. Le système inter-États couvre à lui seul 50 000 miles de route (soit près de 80 000 kilomètres). En roulant à une vitesse moyenne de 60 miles par heure (environ 96 km/h), il faudrait rouler environ 5 semaines non-stop, 24 h/24 et 7 j/7, pour tout parcourir ! Nous avons compilé un guide pour rendre compte des distances, du temps nécessaire, et l’avons agrémenté de quelques idées pour optimiser votre emploi du temps. Jetez un œil à notre Guide de la route au États-Unis pour des informations détaillées.
Traverser le pays d’une traite de New York à Los Angeles prendrait environ 41 heures. Sachant que 5 heures de route par jour est largement suffisant lorsqu’on est en vacances, il vous faudrait donc plus d’une semaine pour réaliser la traversée. Une option envisageable si vous vous sentez de passer autant de temps sur la route. Cependant, ceci suppose que vous suivez le plus court trajet. Selon Google Maps, votre périple vous emmènerait à travers la Pennsylvanie, l’Ohio, l’Indiana, l’Illinois, le Missouri, l’Oklahoma, le Texas, le Nouveau-Mexique, et l’Arizona sans traverser de ville majeure à part Indianapolis, Saint-Louis et Albuquerque. Si vous envisagez ce voyage, mieux vaut bien le préparer !
Nous avons un peu modifié le trajet afin d’inclure quelques lieux d’intérêt à ne pas rater, comme Chicago, Kansas City, Denver, Yellowstone, Las Vegas et le Grand Canyon, le parc national de Yosemite et San Francisco. L‘itinéraire ainsi modifié a une durée totale de 83 heures de route, soit environ 16 jours. Ajoutez une semaine supplémentaire pour pouvoir explorer librement ici et là, et vous voilà avec un voyage épique. Trois semaines et demie passées à traverser le pays de l’Oncle Sam. Pourquoi ne pas prévoir un mois pour en voir plus ?
Vous vous demandez si vous devriez plutôt rouler ou voler pour votre prochain voyage ? Prendre l’avion entre deux villes est généralement plus rapide, grâce aux avions qui volent à plus de 500 miles par heure (800 km/h). Mais on ne voit pas grand chose des paysages quand on est à 9 kilomètres au-dessus du sol. Voici quelques endroits facilement accessibles par la route depuis quelques unes des villes les plus visitées des États-Unis :
● New York permet d’accéder à de nombreux endroits en une journée de route. Vous pouvez vous rendre à Boston, Philadelphie, Baltimore, Washington, aux chutes du Niagara, Charlottesville ou Pittsburgh, en une tranquille journée de voiture. Si vous êtes désireux de consacrer votre journée à rouler avec seulement quelques pauses, vous pouvez atteindre Detroit ou Cincinnati.
● Los Angeles est une ville de voitures. Une fois que vous aurez parcouru la ville, vous pourrez prendre la route pour votre prochaine destination. Une demi-journée est suffisante pour rejoindre San Diego, et Las Vegas peut être atteinte avant le déjeuner si vous partez tôt. En une journée vous pouvez vous rendre à Phoenix, San Francisco, Tucson et Yosemite. Une longue journée de route vous emmènera à Salt Lake City et même Denver.
● Chicago est au centre d’un grand nombre de villes du Midwest. En quelques heures, vous pouvez être à Detroit, Indianapolis ou Milwaukee, et en une matinée ou après-midi, vous pouvez atteindre Saint-Louis ou Cincinnati. En quelques jours de route, vous serez à Minneapolis, Kansas City, Nashville, Louisville, Pittsburgh, aux chutes du Niagara et Toronto.
● Houston, au Texas, surnommé « l’État de l’étoile solitaire » (en référence au drapeau local), est un peu isolée. Tout est plus grand au Texas, y compris les distances entre les villes ! Les plus grandes villes sont La Nouvelle-Orléans, Austin et Dallas, accessibles en plus ou moins 6 heures. Une journée de route vous conduira à Memphis, jusqu’à la côte est de la Floride ou de l’autre côté de la frontière avec le Mexique.
● Orlando est une destination populaire pour les vacances, et se trouve idéalement située en Floride. Vous pouvez atteindre n’importe quelle autre ville de l’État en moins de 7 heures, y compris Pensacola et Key West. Il y a énormément de choses à voir et à faire dans les environs ! Pour sortir de « l’État ensoleillé », Savannah, Charleston, Atlanta et Charlotte sont à moins d’une journée de voiture, et vous pouvez même pousser jusqu’à Nashville si vous le souhaitez.
● Las Vegas est la Mecque des touristes, et les strass et paillettes de la ville contrastent avec les merveilles naturelles que l’on trouve à proximité. Los Angeles est à 4 heures de route si l’on prend la I-15, et le Grand Canyon se situe à la même distance dans la direction opposée. Les nombreux parcs nationaux de l’Utah sont facilement accessibles, ainsi que celui de Yosemite. En 11 heures de route, le trajet de Las Vegas à Yellowstone peut se faire en un jour.
Une semaine est une bonne durée pour un road trip. C’est assez long pour avoir le sentiment d’évasion et pas trop long pour ne pas se lasser de la vie de nomade. Voici quelques idées de road trips à faire en une semaine, avec une voiture de location depuis l’un des grands aéroports que comptent les États-Unis. Il existe de nombreux outils pour calculer les distances. Nous avons choisi Google Maps pour donner une bonne approximation du temps passé sur la route :
● Faites le voyage entre New York et Chicago, dans un sens ou dans l’autre, et longez Lake Erie, faites des arrêts à Toledo, aux chutes du Niagara, à Syracuse et dans bien d’autres lieux. La route est bordée de jolis lacs, des paysages de la région de New York et se termine, dans les deux sens, par deux des plus intéressantes villes des États-Unis. Temps total sur la route : 16 heures, ce qui laisse plein de temps pour explorer au fur et à mesure et passer un ou deux jours en bord de lac.
● Une boucle depuis San Diego est une bonne manière de découvrir la Californie du Sud. Dirigez-vous vers la côte en passant par Los Angeles et de nombreuses autres villes balnéaires, par le panoramique Big Sur vers San Francisco. Faites le chemin de retour en passant par Lake Tahoe et à travers le parc national de Yosemite pour une splendide balade dans la nature ! Temps total sur la route : 23 heures, ce qui est une durée raisonnable pour un voyage d’une semaine avec une grande quantité de paysages à admirer depuis la voiture.
● Les amoureux de la nature apprécieront le Nord-ouest Pacifique, à bord d’une voiture louée à Seattle. Faites un tour dans les contrées sauvages de la péninsule Olympique, puis tracez la route à travers l’Oregon et l’Idaho, passez près du parc national Craters of the Moon et perdez-vous dans celui de Yellowstone. Faites le retour en traversant les montagnes du Montana. Temps total sur la route : 36 heures. C’est une grande boucle mais pas si éprouvante si étalée sur une semaine. Certains tronçons s’effectuent rapidement.
● Vous préférez la plage à la montagne ? Les côtes de la Floride, de la Géorgie, de Caroline du Nord et du Sud sont pour vous. Commencez le voyage par une visite du parc Disney World à Orlando, puis dirigez-vous vers le bord de mer pour longer l’Atlantique vers le nord par Daytona Beach, Jacksonville et les grandes villes du sud que sont Savannah, Charleston et Wilmington. Profitez de Virginia Beach et des paysages côtiers avant de rentrer dans les terres pour finir à Washington DC. Temps total sur la route : 17 heures, ce qui laisse du temps pour se prélasser sur le sable.
Planifier son itinéraire est l’un des moments les plus excitants d’un road trip et la réservation permet de concrétiser tout ça. Peu importe le temps que vous comptez voyager, Airport Rentals vous aide à trouver la voiture qu’il vous faut. L’immense choix de fournisseurs et un moteur de recherche simple d‘utilisation vous rendent la tâche facile !